Puériculture

  • Cette année encore, BRIO innove pour Noël avec deux nouveaux accessoires de la gamme Smart Tech. Et mon Mini a eu le plaisir de les tester pour vous ! La grue de chargement de conteneurs En juin dernier, nous vous avions fait découvrir la grue de chargement de marchandises, qui avait rencontré un vif succès à la maison. Elle permettait le transfert de lourdes charges d’un train à un camion et inversement. Une belle occasion de varier les scénarios, de travailler sa logique et sa motricité fine. La grue de chargement de conteneurs est encore un peu plus sophistiquée et réaliste ! En effet, elle est munie d’un petit personnage, qui dirige les opérations, confortablement installé sur son siège. Il se sert de l?aimant pour soulever et transfe?rer les charges entre les diffe?rents ve?hicules.  Et comme toujours, ce nouvel accessoire interagit avec les autres accessoires Smart Tech. Ainsi, la grue pivotante a? 360°de?clenche les sons & lumie?res et les mouvements pre?-programme?s de la locomotive.   Voici le test de mon Mini avec son papa, devenu lui aussi grand fan de BRIO depuis la mise en place de notre partenariat ;-). Dans ce coffret de la grue de chargement de conteneurs, vous trouverez donc : – une grue – un opérateur – un camion – un chariot avec son chargement en bois Prix généralement constaté : 50 euros Le Pont levant La 2ème nouveauté parmi les accessoires BRIO Smart Tech, c’est le pont levant ! Un pont qui interagit lui aussi avec les locomotives Smart Tech. En effet, si le pont est leve?, la locomotive s?arre?te, klaxonne et fait clignoter ses phares. Quand il est baisse?, la locomotive repart et klaxonne joyeusement en le traversant. Encore une jolie façon de dynamiser un circuit de train ;-)             Dans le coffret du pont levant, vous trouverez : Des rails Un pont levant Prix généralement constaté : 36 euros J?espère que ces nouveautés vous inspireront pour faire la liste au Père Noël ! Et soyez attentifs, je vous concocte deux jeux concours BRIO d?ici la fin de l?année :-). Cet article Du nouveau chez BRIO Smart tech ! est apparu en premier sur côtébébé.
  • Comment présenter bébé à ses aînés ?
    L’arrivée d’un nouveau-né dans la famille est un merveilleux événement venant consolider le noyau familial. Il peut aussi générer, et c’est tout à fait normal, un sentiment de jalousie, de colère, voire des comportements régressifs de la part des aînés. Ces derniers doivent apprendre le partage, accepter de ne plus être au centre de l’attention, et ont besoin d’être rassurés. De bonnes présentations entre bébé et ses frères et s?urs sont fondamentales pour permettre à chaque enfant de trouver sa place et que la fratrie se créée dans les meilleures conditions. Présenter bébé aux aînés dès la grossesse Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les présentations entre bébé et ses frères et s?urs peuvent se faire bien avant la naissance. Tout commence au moment de l’annonce de votre grossesse à vos premiers enfants. Selon leur âge, ils éprouveront plus ou moins de facilité à réaliser l’ampleur de l’événement. L’arrivée d’un bébé dans la famille peut leur sembler bien abstraite. Parlez du bébé à vos enfants pendant votre grossesse. Il vaudra mieux d’ailleurs qu’ils apprennent la nouvelle par vous directement, plutôt qu’entre deux bribes de conversation ou par une tierce personne. Pour aider vos aînés à se figurer leur futur petit frère ou petite s?ur, vous pouvez aussi leur montrer des clichés de vos échographies. La présence du bébé se concrétise davantage pour les aînés lorsque le ventre de la maman commence à s’arrondir. Jusqu’au terme de votre grossesse, les frères et s?urs peuvent ainsi se familiariser avec sa présence. Encouragez vos enfants à toucher votre ventre s’ils le souhaitent, à y poser leur oreille, à écouter, à parler au bébé. Favorisez les petites attentions qu’ils pourraient avoir à son égard en leur faisant comprendre que leur petit frère ou leur petite s?ur les entend. Ce peut être simplement parler, lui chanter des chansons, lui faire écouter de la musique. Lorsque le bébé bougera, encouragez les plus grands à répondre aux mouvements du bébé. C’est une première forme de contact entre le bébé et ses frères et s?urs. La période de grossesse peut générer un sentiment de flou voire d’insécurité pour un aîné. Il sent que quelque chose est en train de changer, qu’un nouvel être nécessite votre attention, et craint que sa place au sein de la famille soit perturbée. Il convient de faire en sorte que vos aînés se sentent reliés au futur bébé. Ils doivent le voir comme un allié, un futur compagnon de jeu, un petit être sur lequel veiller et sur qui avoir une influence positive. Valorisez le rôle de grand frère ou de grande s?ur auprès de vos aînés. Faites-leur comprendre qu’il y a assez d’amour pour chacun d’entre eux. Vous pouvez par exemple, lors d’un moment de détente, inviter vos enfants à poser une main ou leur tête sur votre ventre pendant que vous les enlacez. Un peu comme si vous faisiez déjà un câlin à toute la fratrie. Prenez néanmoins le temps de garder des moments privilégiés avec chacun de vos enfants. La rencontre entre bébé et ses frères et s?urs à la maternité La première rencontre entre bébé et ses frères et s?urs est un moment unique. C’est le moment où les représentations de chacun viennent se confronter à la réalité. L’occasion également d’inviter les aînés à accueillir le bébé en se présentant à lui, lui offrir un petit cadeau, verbaliser ce qu’ils sont par rapport à lui et ce qu’ils ont spontanément envie de lui dire. Vos aînés ressentiront certainement tout l’amour que vous portez à ce petit être fraîchement venu au monde. Il est important dans ce moment-là d’apporter la même attention à toute la fratrie : regards, caresses, paroles, etc. Les plus grands doivent comprendre que vous les aimez autant que leur petit frère ou leur petite s?ur et qu’ils ont toujours leur place au sein de la famille. Profitez de ces premiers instants réunis pour en faire un moment de tendresse partagée entre vos enfants. Invitez-les également à verbaliser leurs sentiments à ce moment-là. Posez-leur des questions : est-ce que tu es content ? Est-ce que tu veux prendre le bébé dans tes bras ? Encouragez les échanges, verbaux et non-verbaux. Le reste se fait généralement tout seul, la communication opère instinctivement entre les bébés et leurs frères et s?urs. Surtout, ne rien forcer. Il est aussi important d’accueillir les émotions ou les paroles négatives d’un enfant, et de les accompagner avec bienveillance. Impliquer les frères et s?urs dans les soins après la naissance peut aussi aider à faire les présentations avec bébé et à créer du lien entre eux. Bien présenter bébé à ses frères et soeurs est important pour que la fratrie se construise sur des bases saines. Les premiers contacts entre frères et s?urs commencent dès la vie intra-utérine, les f?tus percevant déjà ce qu’il se passe à l’extérieur. La clé est de favoriser et encourager les échanges, les moments de partage et de complicité entre les enfants, tout en veillant à ce que chacun soit à sa place. C’est aussi être à l’écoute de chacun, valoriser et rassurer les aînés. Si cet article vous a plu, vous aimerez certainement notre article sur l’arrivée du deuxième enfant   Cet article Comment présenter bébé à ses aînés ? est apparu en premier sur côtébébé.
  • L?apprentissage de la marche chez bébé
    Afin d?aider P?tit Loup dans l?apprentissage de la marche, il existe quelques clés utiles. Côté Bébé en a relevé 4. À vous de les tester et n?hésitez pas à nous faire part de vos astuces en commentaire. Pas de précipitation Depuis quelque temps, P?tit Loup avance en se tenant aux objets solides qui sont à  sa portée. Vous n?avez qu?une envie : lui prendre la main et lui faire lâcher son support. Attention : si bébé ne lâche pas tout seul son support, c?est qu?il n?est pas encore prêt à le faire. Il a besoin d?ajustements pour y parvenir. Son cerveau doit régler la question de l?équilibre précaire, ses muscles se densifier pour permettre de soutenir son corps entier marchant sans support?En laissant P?tit Loup vous donner le top départ de la marche, vous maximisez ses chances de réussite car là, il sera réellement prêt. C?est vraiment lorsque vous le verrez lâcher les supports très régulièrement que vous pourrez intervenir pour l?aider à effectuer des pas. On préconise  de le soutenir par les aisselles plutôt que de le laisser les bras en l?air pour tenir vos mains (question d?équilibre) P?tit Loup et la liberté de se mouvoir Pour pouvoir plus tard évoluer dans l?espace avec aisance, il faut construire tôt les bases de l?appropriation de l?environnement. Aussi, pour que P?tit Loup se sente rapidement en confiance au moment de marcher, il est recommandé de le laisser se mouvoir dans différentes positions : ramper, faire le serpent au sol, évoluer à quatre pattes dans le salon?sont autant de moyens d?explorer son univers pour le rendre familier. C?est un excellent moyen pour lui donner confiance. En lui autorisant cette liberté de mouvement, P?tit Loup s?habituera aux fondamentaux de la marche : parvenir à franchir un obstacle, sentir les diverses matières (comme un parquet en bois, une cuisine carrelée, un tapis au sol?) Le fait d?onduler comme un serpent ou de faire du 4 pattes lui donne une meilleure conscience de son corps et des sensations ; le 4 pattes l?aide particulièrement  car c?est un mode de déplacement qui rappelle le principe de la marche : les membres se déplacent de manière asymétrique là aussi. Se redresser tout en douceur Là encore, il ne faut pas précipiter les choses. P?tit Loup se mettra en position debout, accroché à un support de son choix, lorsqu?il sentira que c?est le moment. Laissez-le faire. Le problème de vouloir le redresser à tout prix, c?est que cela nuit en réalité au processus d?apprentissage. Il faut d?abord que P?tit Loup acquière ses premières bases, travaille son équilibre et expérimente la sensation d?être debout par lui-même. Pour l?aider sans le forcer, veillez simplement à sa sécurité. Placez dans la pièce où il évolue le plus des supports solides, mis à sa hauteur. Le choix des chaussures L?offre en chaussures est résolument riche. On a vite envie de craquer et d?acheter plusieurs paires pour son petit. Mais attention : il est reconnu qu?il est préférable de laisser P?tit Loup les pieds à l?air libre. En effet, dans un premier temps, il a besoin d?appréhender le contact au sol. C?est important car cela participe à un meilleur ajustement de son équilibre. Ceci vaut pour les déplacements dans votre lieu de vie, donc à l?intérieur. Si vous allez promener P?tit Loup et que vous comptez lui faire faire quelques pas dans un parc, il faudra lui mettre ses chaussures. Sachez qu?il existe des chaussures à semelles souples, idéales pour garder un contact au sol, qui favorisent l’apprentissage de la marche ! Si vous avez aimé cet article, vous aimerez sûrement notre article sur la motricité libre Crédit Photo by Alexander Dummer on Unsplash Cet article L’apprentissage de la marche chez bébé est apparu en premier sur côtébébé.
  • Que faire si votre enfant n?aime pas sa maitresse d?école ?
    Nous voilà déjà presque à la fois du mois de septembre et bien sûr, vous avez déjà posé la question de savoir comment est la maîtresse / le maître. Réponse cinglante de P?tite Cerise qui, du haut de ses 3 ans ne mâche pas ses mots : « je ne l?aime pas ». Aïe. Il est temps de faire le point sur comment éviter que la situation n?empire? Règle n°1 : restez calme Rien ne sert de vous énerver. Mieux vaut rester dans une optique positive. Et pour commencer, écoutez P?tite Cerise. Comment se sent-elle ? Est-elle triste de la situation ? A-t-elle peur de sa maîtresse / de son maître ? Cette étape demeure cruciale car votre enfant comprend ainsi qu?il est entendu. Il peut donc s?exprimer en confiance et montrer les émotions qui l?habitent. P?tite Cerise doit être encouragée à exprimer son point de vue sur la situation. Idéalement, vous pouvez aussi l?amener à réfléchir sur comment sa maîtresse / son maître voit les choses. Si P?tite Cerise a distrait la classe à maintes reprises empêchant ses camarades de travailler, peut-être que la sanction de son enseignant est justifiée. Qu?en pense-t-elle ? Il s?agit avant tout de cadrer les faits et de faire comprendre à l?enfant que ce n?est pas parce que son enseignant le fâche qu?il ne l?apprécie pas. La maitresse / le maître doit sanctionner les comportements contre-productif en classe et c?est qu?elle / il a fait. Il aurait procédé de même avec un autre enfant au comportement gênant. Règle n°2 : ne dites pas de choses blessantes sur la maîtresse / le maître Combien de fois a-t-on entendu dire : « je n?aime pas les mathématiques. Mon professeur m?en a dégoûté ». Souvent. Trop souvent même. Si l?enfant (et cela vaut aussi pour l?adolescent) a une mauvaise image de son enseignant, le risque est qu?il verra son parcours scolaire se compliquer. Aussi, mieux vaut éviter que cela se produise dès la maternelle. Les enfants s?identifient à leurs maitresses et maîtres. Ils convient donc de ne pas ternir leur image. Mieux vaut ne pas dévaloriser l?enseignant, sous peine de casser le goût d?enrichir les connaissances. Règle n°3 : réfléchir aux bonnes attitudes Réfléchissez avec P?tite Cerise aux attitudes qu?elle peut adopter pour éviter de déranger la classe. Cela engendrera de la frustration que d?aller contre ses envies, mais cela va aussi l?aider à évoluer. Ainsi, P?tite Cerise comprend qu?elle ne peut pas faire tout ce qu?elle veut : c?est une préparation à ce qu?il l?attend dans sa vie future. Avec ses mots, P?tite Cerise peut aussi aller trouver l?enseignant et lui parler de ce qu?elle trouve injuste et de son incompréhension face à la situation. Une fois les solutions énumérées, voyez ce que votre enfant souhaite faire. Règle n°4 : privilégiez le dialogue sans jugement avec l?enseignant Si malgré vos efforts la situation s?enlise, demandez un rendez-vous avec la maîtresse / le maître. N?emmenez pas votre enfant : il ne s?agit pas de savoir qui a tort ou raison mais bien d?évoquer la situation de manière objective, tout en soulignant les solutions mentionnées lors du dialogue avec P?tite Cerise. Evoquez avec l?enseignant les alternatives les plus propices pour être dans les meilleures conditions d?apprentissage. Ces solutions devraient prévoir un changement comportemental à la fois de la part de P?tite Cerise mais aussi de son enseignant. Laissez passer un peu de temps et refaites le point avec votre enfant. Si rien n?a changé, sachez que vous pouvez faire intervenir une médiation. Et chez vous, ça se passe comment avec la maîtresse ? Cet article Que faire si votre enfant n?aime pas sa maitresse d?école ? est apparu en premier sur côtébébé.
  • ?Et un jour j?ai décidé de faire la tortue??
    Nathalie Desanti est mère de deux enfants, journaliste et coach certifié en coaching parental. Elle est l’auteure de l’ouvrage “Et un jour j’ai décidé de faire la tortue, ou comment le slow parenting a changé ma vie “. Elle nous en dit plus sur cette nouvelle approche de la parentalité et sur son parcours pour devenir une « slow mum ». D?où vient le slow parenting et comment y-es-tu venue ?   Le slow parenting est un concept né aux USA. Il propose de ralentir le rythme effréné de nos vies de parents, afin de passer du temps de qualité avec nos enfants. Il m’a interpellée car il a mis des mots sur ce que je vivais au quotidien : une course sans fin ! J’ai tout à coup pris conscience que j’imposais un tempo de fou à ma famille. Plusieurs questions se sont alors imposées à moi : comment leur proposer un rythme de vie plus respectueux de leurs besoins ? Comment vivre des choses ensemble et séparément au bon rythme ? Je ne voulais plus trainer mes enfants à bout de bras pour aller à l’école en courant. C’était ça le vrai déclencheur. Dans le livre, tu réinventes la pyramide de Maslow en mode slow parenting, peux-tu nous l?expliquer ? La pyramide de Maslow classique reste la vraie référence, évidemment. Elle représente la hiérarchie des besoins de l’être humain (besoin physiologique, besoin de sécurité, d’appartenance, d’estime de soi…). Mais j’ai voulu la revisiter à travers le prisme du tempo. Il s’agit d’une progression naturelle et vitale. besoin de respirer et de prendre notre temps, car cela ne nous en fait pas perdre. nous faisons mieux les choses en conscience besoin d’être écouté mais souvent le tempo est trop rapide pour que nous soyons dans la bonne interaction avec l’autre. besoin de partage en famille : cuisiner ensemble, lire une histoire, se raconter la journée… Tous ces petits moments renforcent le lien. besoin de bienveillance : c’est la base ! Nous avons tous besoin de personnes qui nous veulent du bien… besoin d’accomplissement en confiance : on s’accomplit car on a coché toutes les cases précédentes ! Y-a-t-il un lien entre le slow parenting et l?éducation bienveillante ? Oui, bien sûr ! L?éducation bienveillante, la parentalité positive et le slow parenting ont tous en commun de remettre l’enfant au c?ur du processus éducatif. C’est juste l’angle qui change, mais la vision est globalement la même. Personnellement, c’est plus un message vibratoire que je souhaite envoyer à travers ce livre : comment faire de son mieux en tant qu’individu ? Penses-tu que le slow parenting soit adapté à nos modes de vie occidentaux ? As-tu des astuces pour le mettre en place « facilement » ? On court tout le temps et la société tout entière nous y incite, mais il y a des façons de ralentir et surtout de transformer les moments de stress en expérience positive. Prenons un exemple : vous avez RDV dans 10 minutes chez le dentiste mais vous êtes très en retard. Au lieu de bousculer votre enfant en lui disant “Dépêche-toi, mais dépêche-toi, je te dis !” et de le culpabiliser (alors qu’il n’est peut-être en rien responsable de ce retard), proposez-lui de faire la course pour savoir qui va arriver le plus tôt chez le dentiste, tout en lui expliquant que vous êtes un peu juste niveau timing ! Le vocabulaire a aussi son importance dans la mise en place du slow parenting. Appeler ses enfants par leur prénom pour les inciter à venir diner plutôt que de lancer un impersonnel et autoritaire “A taaaaaable !!!” fonctionne assez bien, par exemple. Ce changement d’attitude peut sembler compliqué mais c’est une gymnastique, qui se transforme en quelque chose d?assez naturel à force de pratique. Ce sont les débuts qui sont difficiles. Quand on sent le stress monter, on respire un bon coup et on lâche prise…  Et on avance à petits pas, sans se mettre des objectifs inatteignables. Pour moi, le slow parenting n’est pas incompatible avec notre société actuelle, puisqu’il correspond à un vrai besoin. Une fois qu?on a adopté un mode de vie « slow », il est facile de rechuter?  Comment fait-on pour rester motivé et ne pas se faire de nouveau happer par le stress ? Nous ne sommes pas linéaires. Certains jours, nous serons plus disposés au slow et à la bienveillance, d’autres moins ! Il faut s’autoriser à déraper, à être dans l’imperfection… D’ailleurs, c’est essentiel pour un enfant de savoir que ses parents ne sont pas des êtres parfaits, c’est même très rassurant. L’important c’est de sentir quand on va trop loin. Écouter son corps et ses émotions permet de voir si on est à nouveau dans la centrifugeuse…  Et là, il est essentiel de rectifier le tir pour éviter le burnout en direct. Ton livre raconte ton cheminement vers le slow parenting sur plusieurs années. Aujourd?hui, es-tu une « slow mum » ? Oui, je pense que j’y suis arrivée…  J’ai réussi à changer des choses en profondeur. Je prends plus le temps, j’accepte de m’interrompre dans mon travail, de faire des pauses. Mes enfants sont grands, mais je m’attache toujours à partager des moments avec eux. Ce changement d’attitude ne se limite pas à mes enfants. C’est vraiment une autre façon de voir la vie et d’être avec les autres. Je suis plus empathique et moins autocentrée notamment avec mes parents, je saisie d’avantage les opportunités et je vis dans le moment présent, beaucoup plus qu’auparavant !  L’avis de la rédaction “Et un jour, j’ai décidé de faire la tortue… ” parlera à de nombreux parents ! J’ai particulièrement apprécié le format guide-roman, qui se distingue des ouvrages classiques de développement personnel ou de parenting. Nathalie ne nous donne pas de leçon, elle partage une expérience, un cheminement vers une vie avec plus de sens. Pour acheter son livre, c’est par ici Et vous, connaissiez-vous le slow parenting ? Cet article “Et un jour j’ai décidé de faire la tortue…” est apparu en premier sur côtébébé.
  • Le « Yes Day », vous connaissez ?
    Le Yes Day », c?est la journée qu?attendent vos p?tits loups avec impatience. Un jour spécial, où (presque) toutes leurs demandes se verront exaucées?côtébébé vous en dit plus sur ce concept d?éducation positive. L?idée Elle reste simple. Les parents passent leur temps à dire « non ». Et si pour une fois, P?tit Loup et P?tite Cerise voyaient leurs requêtes se réaliser ? P?tite Cerise désire se rendre à l?école vêtue de sa veste rouge et jaune à p?tits pois tout en lui associant ses collants fétiches bleu électrique ? P?tit Loup souhaite terminer le repas avec un double dessert  ? Vous allez, pendant 24 heures, les laisser exaucer quelques-unes de leurs « folies » créatives ou gustatives. En procédant ainsi, vous leur montrez que vous leur faites confiance mais surtout vous vous offrez une parenthèse calme. Derrière cette journée spéciale se cache aussi un enjeu majeur : apprendre à responsabiliser ses enfants. Vous serez certainement surpris  de constater qu?imposer les choses dans la rigueur n?est pas forcément la meilleure alternative. Attention toutefois ! Pour que le Yes Day fonctionne et offre des bénéfices, il convient de réfléchir à certains points et de placer les limites : 1) Un cadrage minimal reste requis Cette journée spéciale demande quelques règles pour ne pas virer au cauchemar. Même si vous allez tolérer des écarts notamment sur les repas (par exemple autoriser des sucreries pour le goûter), vous ne pouvez pas permettre à P?tite Cerise de sauter un repas. Il s?agit de laisser un peu de liberté à l?enfant mais sans porter préjudice à son équilibre alimentaire. Il sera d?ailleurs judicieux de glisser tranquillement le fait que manger équilibré reste important pour la santé. Côté dépenses, place aux notions d?économies et d?argent. Oui, des extras pourront être effectués pendant le Yes Day mais ce n?est pas Noël non plus. Cadeaux peu onéreux ou activités en famille seront inscrits au budget qui connait un plafond, évidemment. A déterminer tout en expliquant la valeur de l?argent. Le coucher, quant à lui, pourra être un peu repoussé. Cette journée spéciale se prolonge un peu plus que les autres?dans la limite du raisonnable. Encore une entorse au quotidien pour profiter du Yes Day à fond ! 2) Choisissez à quelle fréquence se déroulera le « Yes Day » Journée exceptionnelle une fois par an ? Ou jour répété une fois par trimestre ou semestre ? À vous de déterminer à quelle fréquence le « Yes Day » sera effectué. Pensez juste à ne pas en abuser, sous peine de le voir se transformer en habitude. Pour être productive, cette journée doit rester spéciale. Sinon, elle perdra les bénéfices qu?elle est censée apporter. 3) La question des écrans Si le « Yes Day » permet de jouer à la console ou de regarder un film, il ne préconise pas de passer toute la journée devant les écrans ; là encore, vous pourrez être plus souple avec la télévision ou les jeux vidéo sans toutefois autoriser une overdose d?écrans. 4) La distance P?tit Loup et P?tite Cerise vont certainement demander à faire des activités. Il se peut qu?elles se trouvent loin de votre domicile. Tout l?enjeu va être d?aborder la notion temps / distance pour leur faire comprendre qu?au-delà d? une certaine distance, cela sera compliqué à réaliser dans la journée du Yes Day, faute de temps passé sur la route pour se rendre à l?activité? En conclusion, on comprend que cette journée exceptionnelle reste ouverte aux propositions des enfants. Elle doit s?opérer dans la bienveillance, avec des notions pédagogiques sur chaque point abordé afin de responsabiliser P?tit Loup et P?tite Cerise tout en leur faisant plaisir !   Cet article Le « Yes Day », vous connaissez ? est apparu en premier sur côtébébé.
  • Et la sieste de bébé pendant les vacances ?
    Les vacances sont là et avec elles, des changements en perspective dans le rythme et les activités de la famille. côtébébé fait le point sur le sommeil de P?tite Cerise ! La sieste de bébé : on l?oublie pendant les vacances ? Peut-être avez-vous constaté que lors des vacances, votre enfant présente des difficultés à l?endormissement. Il faut dire qu?avec le changement d?environnement, les bruits, la chaleur,  l?excitation?les paramètres sont réunis pour compliquer la sieste de P?tite Cerise. Une chose tout de même à retenir : un enfant qui a besoin de sommeil s?endormira même si la pollution sonore est à son comble autour de lui. La sieste reste importante pour les tout-petits. Aussi, il va s?agir de tenter de maintenir un rythme plus ou moins cohérent, même si P?tite Cerise ne dort pas comme d?habitude. Sachez que 30 à 45 minutes de sommeil dans l?après-midi seront utiles pour se reposer : cela permettra à bébé de s?apaiser par rapport à l?excitation ambiante mais aussi de mieux digérer. Cette parenthèse est en fait bénéfique pour tout le monde car pendant que P?tite Cerise récupère, les parents peuvent eux aussi se reposer. Attention aux idées reçues : un enfant qui ne fait pas sa sieste n?aura pas plus de facilités pour se coucher le soir ! C?est même plutôt le contraire : la sieste dans la journée (même de courte durée) permet de rester en cohérence avec le rythme de sommeil de l?enfant. Pour les tout-petits (moins de 6 mois)                  Aucun problème pour se montrer souple quant au sommeil de bébé. On peut alors lui autoriser sa sieste en extérieur (dans sa poussette, sous le parasol d?un restaurant pendant un repas?). Il faut veiller à ce que l?enfant ait son quota de sommeil mais la sieste peut être faite dans des endroits inhabituels pour bébé. À cet âge, aucune habitude ne reste figée : on peut la défaire facilement. Le retour à la normale d?après vacances reste donc facile à remettre en place. Le risque cependant demeure que P?tite Cerise s?habitue à dormir dans sa poussette, bercée par ses proches? Après 9 mois À 9 mois, P?tite Cerise est beaucoup plus constante dans ces cycles de sommeil. Le fait d?avoir un peu dérogé aux « règles » habituelles de ses siestes (avec coucher plus tardif, grasse matinée, dodo dans la chambre des parents dans le mobil-home?) demande un recadrage pour l?après-vacances. Problème : les parents qui se sont montrés cool pendant les vacances peuvent peiner à remettre un cadre à peine rentrés. Cela nuit à une reprise efficace du cycle de sommeil pour l?enfant. Le mieux pour instaurer un retour à la normale demeure d?adopter une position claire et d?expliquer en douceur que les vacances sont terminées et qu?il faut de nouveau se conformer aux règles entourant le sommeil. Comme la plupart du temps, c?est une communication claire et apaisée qui s?avérera efficace pour restaurer les bonnes vieilles habitudes. Un passage en force risque fort de compliquer les choses. Alors on se détend : les vacances sont là ! Cet article Et la sieste de bébé pendant les vacances ? est apparu en premier sur côtébébé.
  • Zoom sur les p?tits bobos de l?été !
    L?été, de grands classiques reviennent et créent des problèmes aux enfants. côtébébé fait le point sur les bobos estivaux et tente de vous livrer quelques astuces pour les atténuer. 1) Attention au soleil Avant 2 ans, mieux vaut éviter l?exposition au soleil. En effet, les jeunes enfants restent sujets à la déshydratation et tolèrent mal la chaleur. Même à l?ombre d?un parasol, par exemple, ils doivent être équipés : t-shirt, short, lunettes de soleil (si possible de classe 3) et chapeau assez large sur les bords seront d?excellents alliés pour contrer les risques. Pour les parties qui restent dénudées sous le parasol (comme les jambes et les bras), il faudra veiller à appliquer une crème solaire avec un indice de protection élevé. Pour toute la famille, on évite les phases d?exposition au soleil entre 12 et 16 heures, qui sont les pires pour la peau et multiplient les risques d?insolation. Dans le cas où l?insolation serait tout de même là, vous la repérerez aux nausées, vomissements, pouls plus faible et maux de tête qu?elle provoque. La température de l?enfant peut monter également. Il faudra alors le placer dans une zone ombragée et veiller à lui donner à boire. Vous pouvez aussi refroidir sa tête avec des compresses d?eau fraîche. 2) Les brûlures Si votre enfant s?est brûlé, il faudra refroidir la partie de son corps concernée par la brûlure. En la passant sous l?eau froide pendant 5 minutes, cela atténuera la douleur tout en évitant la propagation de la brûlure. Un linge gorgé d?eau pourra aussi être appliqué sur la zone abîmée. Attention par contre à ne pas utiliser certains remèdes de grand-mère comme le recours à l?huile ou au beurre. En effet, les corps gras vont tenir la brûlure au chaud et ne seront donc pas efficaces. Ne percez pas les cloques, sous peine de faciliter le passage des microbes (infection). N?utilisez pas de coton sur la plaie, car ce dernier laisse de petits résidus qui vont se coller à la brûlure. 3) Aïe, ça pique ! Abeilles, guêpes et moustiques sont très présents dans les paysages estivaux. Il y a des précautions à prendre pour éviter de se faire piquer et des recommandations à suivre quand c?est trop tard. L?abeille perd son dard qu?il faut ôter avec une pince à épiler. Une fois le dard sorti, désinfectez à l?alcool. D?une manière générale, les piqûres d?insectes ne sont pas dangereuses quoique douloureuses. Attention toutefois aux réactions allergiques qui peuvent déclencher un gonflement. Si la piqûre s?est produite dans une zone sensible (gorge, contour des yeux ou de la bouche), mieux vaut consulter un docteur. Les couleurs vives attirent les insectes ; aussi reste-t-il judicieux de porter des vêtements aux coloris clairs et d?éviter de marcher pieds nus. S?il ne fait pas trop chaud, un tee-shirt à manches longues sera idéal pour prévenir le risque de piqûres de moustiques et autres insectes. De la même manière, un short un peu long protègera mieux les jambes. 4) La déshydratation Elle ne doit pas être prise à la légère. En effet, un jeune enfant peut en mourir. S?il présente les symptômes qui suivent, il devra être amené en urgence à l?hôpital : grande fatigue, yeux cernés, troubles de la conscience, pleurs, sécheresse des lèvres et de la langue. On peut aussi faire le test du pli cutané pour vérifier : dans ce cas, on pince la peau du dessus de la main. Si celle-ci demeure plissée quelques secondes après le pincement, c?est un signe de déshydratation. Le remède : faire boire à l?enfant de l?eau fraîche. 5) Les plaies En été, avec l?excitation, les enfants ont tendance à vouloir tout découvrir et à courir partout. Ils peuvent ainsi se faire mal : entailles, griffures et écorchures sont alors fréquentes. Pour les nettoyer, mieux vaut miser sur du savon et bien rincer après application. Un antiseptique doit être ensuite utilisé mais si possible pas sur du coton. En effet, ce dernier se désintègre en petits morceaux, qui viennent se mêler à la plaie. En fonction de la profondeur de la plaie, il faudra ou non avoir recours à un avis médical. Dans tous les cas, avant le départ en vacances, mieux vaut vérifier le carnet de vaccination et vous assurer que tout est à jour (surtout du côté du tétanos). Cet article Zoom sur les p?tits bobos de l?été ! est apparu en premier sur côtébébé.
  • Se reposer en vacances?même avec des enfants !
    Les vacances tant attendues arrivent enfin? Et vous comptez bien en profiter (enfin un peu) tout en vous occupant de P?tite Cerise (7 ans) et P?tit Loup (4 ans). Afin de vous offrir une (vraie) parenthèse au calme de temps en temps, côtébébé vous livre 5 clés censées vous ouvrir les portes de la sieste. Ou presque ;-). Astuce n°1 : les tours de garde Cette astuce fonctionne si vous êtes au moins deux adultes, l?idée étant que l?un gère les enfants pendant que l?autre profite et vice-versa. En alternant ainsi, chacun des parents aura des heures bien à lui pour dormir, aller courir, lire, se dorloter?Bref, tout ce qui lui fait envie. Le must étant d?avoir de la famille sur votre lieu de vacances afin de prévoir carrément une journée escapade en amoureux pendant que les grands-parents prennent le relais. Astuce n°2 : le choix d?un lieu de vacances all inclusive (avec club enfants) Alors oui, il faut voir le prix, évidemment. Mais si cela reste correct, sachez qu?une formule en pension complète dans un club de vacances reste une vraie bouffée d?air pur. Plus besoin de cuisiner, plus de prise de tête à ce sujet, plus de « mais on mange quoi, ce soir ?! » de la part de P?tite Cerise? Idéalement, choisissez un endroit doté d?un club enfants. Cela reste vraiment utile pour vous offrir quelques heures en tête à tête avec votre conjoint. Vos enfants sont surveillés par des professionnels et ils passeront du bon temps tout autant que vous. Astuce n°3 prévoyez des activités créatives Cahier de vacances, création d?un imagier, dessin, coloriage, peinture?Essayez de trouver ce qui plait à P?tite Cerise et à P?tit Loup afin que tous deux s?occupent seuls. Bien sûr vous ne serez pas loin pour surveiller mais cela permettra à vos enfants d?acquérir de l?autonomie et d?apprendre à jouer seuls de temps en temps. Astuce n°4 : le temps calme En début d?après-midi, rien de tel que de prendre l?habitude d?une pause sereine. Mettez-la en place à chaque fois et demandez le silence. Si vos enfants font la sieste, ce sera votre moment à vous ; si ce n?est pas le cas, privilégiez la lecture ou le mode repos sur le canapé. Tout ceci est propice à l?endormissement pour vos p?tits loups. Astuce n°5 du défoulement au grand air ! Après le temps calme où tout le monde s?est apaisé, la promenade en pleine nature est une bonne option. Cela sera ressourçant pour tout le monde. Les petits trouveront mille merveilles dans les bois. Curieux de tout, ils se défouleront tout en profitant du spectacle de la nature. Quant à vous, vous rechargerez vos batteries avec du bon air pur. Les vertus de la forêt ne sont plus à démontrer. Elle apporte vraiment à chacun ce dont il a besoin. Et vous, quelles sont vos astuces pour profiter de vos vacances… même avec vos enfants ? Pour occuper vos minis, découvrez aussi nos astuces pour occuper bébé sur la route des vacances Cet article Se reposer en vacances?même avec des enfants ! est apparu en premier sur côtébébé.
  • Comment protéger bébé en été ?
    La canicule est là. Avec ses fortes chaleurs, les nourrissons et jeunes enfants sont particulièrement exposés à divers risques. Aussi est-il important de rester attentif?Voici quelques astuces pour aider P?tite Cerise à mieux supporter l?été? La tenue de P?tite Cerise En été, la tenue la plus adaptée pour bébé reste le body manches courtes. Complété avec un bob, c?est la tenue pertinente pour P?tite Cerise. Choisissez le coton comme matière pour le body et le bob afin d?offrir une meilleure ventilation. Vous pouvez humidifier le chapeau pour amener de la fraîcheur sur la tête de bébé. C?est toujours agréable. Le point clé : l?hydratation Avec les fortes chaleurs estivales, il demeure crucial que P?tite Cerise soit hydratée. Pour ce faire, il existe plusieurs solutions : le brumisateur : à utiliser très régulièrement afin d?humidifier toutes les parties du corps de bébé. le linge humide et frais : à appliquer doucement sur la nuque, les tempes et le front pour rafraîchir P?tite Cerise ; le biberon : bébé devra boire son biberon d?eau minérale toutes les demi-heures. C?est le meilleur moyen pour qu?il conserve une bonne hydratation. Le bain. L?allié idéal pour rafraîchir P?tite Cerise. Mais attention, l?eau doit être à 35°. Il faut vraiment veiller à ce que le bain soit à bonne température. Bébé peut barboter plusieurs fois par jours, cela lui fera le plus grand bien. Recherchez la fraîcheur Attention : en période de fortes chaleurs, évitez de sortir entre midi et 16 heures. Cela correspond aux heures les plus chaudes. Mieux vaut privilégier une balade matinale ou nocturne et profiter d?un air plus respirable. Ne mettez pas de couverture sur le landau de P?tite Cerise pensant atténuer la chaleur. Au contraire, le fait de placer un linge comme barrière de protection augmente la température dans le landau. Il faut que l?air circule. Vous pouvez par contre opter pour une ombrelle. À la plage, misez sur des tentes anti-UV. Elles vous permettront de faire découvrir les joies de la mer à P?tite Cerise tout en la protégeant. Concernant la chambre : elle devra être aérée pour un meilleur confort. Afin de faire entrer la fraîcheur, respectez ces consignes : en journée : volets et fermés seront maintenus clos pour empêcher la chaleur d?entrer en soirée : aérez votre maison à fond. Fenêtres et volets ouverts pendant une heure ! Cela offrira une parenthèse fraîcheur pour votre intérieur. La protection à la plage En plus de la tente anti-UV, il est nécessaire de protéger le corps de P?tite Cerise. Pour ses yeux, sachez qu?ils sont très fragiles et laissent passer trop d?UV. C?est pourquoi il est impératif qu?un jeune enfant porte des lunettes de soleil de qualité. Sur celles-ci doit figurer la mention CE et un indice de protection puissant (3, au minimum). ATTENTION : le fait que bébé se trouve à l?ombre n?empêche en rien la réverbération. Il doit porter des lunettes tout de même. Enfin, n?hésitez pas à appliquer une crème solaire spécialement dédiée aux jeunes enfants. D?un indice élevé (50), il faudra renouveler son application toutes les 2 heures pour garantir une protection optimale. Si P?tite Cerise reste sous la tente UV et habillée, pensez tout de même à protéger la peau de son visage, de ses bras et pieds car elle reste vulnérable au moindre rayon de soleil filtrant. Et vous, quelles sont vos astuces pour protéger bébé du soleil ? Cet article Comment protéger bébé en été ? est apparu en premier sur côtébébé.
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